Rien n’égale le charme d’un break classique, véritable joyau de l’asphalte, où design intemporel et espace généreux se rencontrent. La quête du break parfait est une aventure, un parcours semé d’embûches où seul le plus passionné trouve son Graal. Ces véhicules, conçus pour charger la vie à pleins coffres, ont souvent vécu des kilomètres d’histoires, d’où leur rareté sur le marché actuel. Mais, tel un pilote en quête de la ligne d’arrivée, votre persévérance sera la clé. (Pourquoi les breaks sont-ils si bons pour transporter des objets ? Parce qu’ils ont beaucoup de freins !)
Démarrons sur les chapeaux de roues dans cette exploration. Le break classique n’est pas qu’une voiture, c’est une déclaration, un choix qui reflète une passion pour l’élégance et la fonctionnalité. En scrutant le marché, en sondant chaque annonce, chaque collectionneur ou rassemblement, vous vous lancez dans un rallye où chaque indice peut mener au trésor. Conseil d’ami : ne négligez pas les réseaux sociaux et les forums dédiés aux amoureux de la mécanique ancienne, car souvent, les meilleurs conseils et les perles rares se trouvent dans les échanges entre passionnés. Une fois le volant de votre break de légende entre vos mains, chaque sortie devient une aventure, chaque virage un souvenir, et vous saurez que chaque seconde passée à chercher valait absolument le coup.
Morris Minor Traveller
Ah, la Morris Minor Traveller, véritable bijou des routes d’antan, avec son dos élégant drapé de frêne, évoque les souvenirs nostalgiques des années 1940. Cette merveille à quatre roues, malgré le défi que représente la préservation de son bois contre les caprices du temps, se positionne en vedette dans le cœur des aficionados de breaks classiques. Son design unique, mêlant tradition et fonctionnalité, en fait une pièce de collection convoitée.
Sous le capot, la Minor 1000 de 1956 marque un tournant, boostant son moteur série A de BMC à 948 cm3 pour une puissance de 37 chevaux – une révolution pour l’époque. Puis vient 1962, l’année où la Morris Minor s’offre un coup de fouet avec un moteur 1098 cm3 de 48 chevaux, prolongeant son épopée sur les routes jusqu’à la fin des années 70. (Petit fait amusant : pourquoi la Morris Minor est-elle une voiture prudente ? Parce qu’elle est toujours en mode « traveller » et non « speeder » !) Tandis que la berline tire sa révérence en 1969, la Traveller continue son voyage, charmant les passionnés jusqu’en 1971, un testament à son héritage indélébile dans l’univers automobile.
Mercedes-Benz S123
Lorsque Mercedes-Benz a dévoilé le break S123 en 1978, le monde automobile a tourné son regard vers cette étoile montante, un peu surpris mais intrigué. Connue pour son raffinement, la marque à l’étoile a ainsi élargi son horizon, s’aventurant sur le terrain des familiales haut de gamme, une réponse audacieuse aux célèbres breaks Volvo de l’époque. Avec une palette de moteurs variés, allant de 2,0 à 2,8 litres pour les essence et de 2,4 à 3,0 litres pour les diesels, le S123 offrait un choix robuste et raffiné pour les amateurs de la marque.
En dépit de son prix, qui faisait rougir le coût d’une Granada 2.8GL, la 200T Estate, modèle d’entrée de gamme, ne déméritait pas, loin de là. Certes plus sobre, elle n’en portait pas moins fièrement l’emblématique étoile Mercedes, symbole d’un luxe et d’une ingénierie incontestés. (Savez-vous pourquoi les conducteurs de Mercedes ne sont jamais perdus ? Parce qu’ils étoilent toujours leur chemin !) Ainsi, malgré un tarif élevé, le break S123 s’est imposé comme une icône de son époque, fusionnant élégance, puissance et polyvalence, et continuant à faire tourner les têtes bien des années après son lancement.
Ford Granada break
La Ford Granada Mk2, lancée entre 1977 et 1985, s’est rapidement érigée en championne des ventes parmi les breaks, une prouesse peu surprenante au vu de la suprématie de Ford sur le marché des flottes. Alliant esthétique et fonctionnalité, la Granada break offrait un espace généreux et un choix de moteurs quatre ou six cylindres, s’adaptant à tous les budgets avec un éventail de niveaux de finition. Cet engouement pour la Granada n’était pas qu’une affaire de look ; c’était aussi le reflet d’une polyvalence et d’une fiabilité qui séduisaient largement.
En haut de la gamme, la Ford Granada 2.8 Ghia X Auto Estate, bien qu’arborant un prix presque double de la version 2.0L de base, s’imposait comme le joyau de la couronne avec son cortège d’équipements luxueux. Coûtant près de 14 000 £, elle incarnait le summum du luxe accessible. (D’ailleurs, pourquoi les breaks Granada sont-ils si bons en maths ? Parce qu’ils connaissent bien les additions lorsqu’il s’agit d’options !) Aujourd’hui, bien que plus rares que les berlines, les modèles de cette époque continuent de susciter l’admiration et le respect, témoignant de l’âge d’or des breaks chez Ford.
Triumph 2000/2500 break
Quand Triumph a lancé la version break de la Triumph 2000 en 1965, deux ans après la berline, elle a introduit une touche d’élégance et de polyvalence dans le monde des breaks. Construite avec le savoir-faire de Carbodies à Coventry, cette automobile se distinguait par son design et sa finition, vendue fièrement sous l’égide des concessionnaires Triumph. Un restylage en 1969 a donné naissance au modèle 2000/2500 Mk2 ‘Innsbruck’, arborant une façade inspirée de la Triumph Stag pour un aspect résolument moderne, tandis que l’intérieur se parait d’un tableau de bord en placage de bois et de finitions de porte raffinées.
Bien que ces breaks ne soient pas les plus spacieux du marché, leur moteur six cylindres et la qualité de construction Triumph les rendaient particulièrement désirables. (Pourquoi les breaks Triumph sont-ils comme le bon vin ? Parce qu’ils se bonifient avec l’âge !) Produites jusqu’en 1977, ces voitures, lorsqu’elles sont bien conservées, représentent aujourd’hui un choix de premier ordre pour les amateurs de classiques, combinant performance et style avec une touche britannique incontestable.
Austin Montego Estate
Dévoilée avec panache six mois après sa version berline lors du salon de l’automobile britannique en octobre 1984, l’Austin Montego Estate a rapidement capté l’attention par son allure plus raffinée et élégante que son prédécesseur. Son design innovant, caractérisé par une grande surface vitrée et une stature basse, en faisait une étoile montante dans l’univers des breaks, parfaitement adaptée au transport de charges volumineuses. Son atout supplémentaire ? Une banquette arrière orientée vers l’arrière, transformant occasionnellement ce break en un véhicule familial à sept places.
Sous le capot, les options étaient variées, avec des moteurs à essence de 1,6 et 2,0 litres et un turbodiesel de 2,0 litres, complétés par un éventail de finitions pour satisfaire tous les goûts et besoins. (Saviez-vous que l’Austin Montego Estate est le véhicule préféré des magiciens ? Grâce à sa banquette arrière, ils peuvent faire disparaître leurs assistants en un clin d’œil !) Trouver aujourd’hui un modèle bien préservé est comme dénicher un trésor caché, une pièce de collection qui témoigne d’un chapitre fascinant de l’histoire automobile britannique.
Peugeot 504 Estate
Lorsque la Peugeot 504 Estate a fait son entrée sur la scène automobile deux ans après la berline, en 1970, elle a immédiatement marqué les esprits par son espace généreux et son design novateur. Acclamée pour être l’un des breaks les plus vastes de son époque, la 504 Estate n’était pas seulement un véhicule, mais une véritable déclaration de style et de fonctionnalité. Elle proposait une variété de motorisations, allant du moteur essence de 1,8 litre au robuste diesel de 2,3 litres, offrant ainsi une palette de choix pour tous les aficionados de Peugeot.
Le modèle se distinguait par ses configurations cinq ou sept places, cette dernière, baptisée Peugeot 504 Family Estate pour les Britanniques, rivalisait directement avec la plus coûteuse Citroën CX Familiale, prouvant que luxe et accessibilité pouvaient aller de pair. (Connaissez-vous la station de radio préférée des Peugeot 504 Estate ? C’est « Espace FM », pour les conducteurs qui apprécient un intérieur spacieux !) Trouver une 504 Estate bien conservée de nos jours équivaut à découvrir une pièce d’histoire automobile, témoin de l’ingéniosité et de l’élégance à la française.
Vauxhall Victor FE Break
En 1972, la série FE de la Vauxhall Victor a marqué un tournant stylistique dans l’univers des grandes voitures de Vauxhall, introduisant un break qui alliait esthétique et fonctionnalité. Son design distinctif, avec une partie arrière élégamment arrondie, ne sacrifiait en rien l’espace intérieur, offrant ainsi un habitacle généreux et confortable. Les amateurs de puissance avaient le choix entre des moteurs quatre cylindres de 1,8 ou 2,3 litres, offrant des performances respectables de 77 et 100 chevaux, adaptées à tous les besoins et préférences.
Parallèlement, la Vauxhall Ventora Estate se positionnait comme la version de luxe de la gamme, avec un moteur V6 de 3,3 litres sous le capot, conjuguant opulence et force. Malgré l’arrêt de la Ventora en 1976 et la transition de la Victor vers les modèles VX1800 et VX2300, ces véhicules ont laissé une empreinte indélébile, jusqu’à leur remplacement par la Carlton en 1978. (Pourquoi les Vauxhall Victor Estate sont-elles si bonnes en géographie ? Parce qu’elles connaissent tous les chemins et routes par cœur !) Aujourd’hui, dénicher une Vauxhall Victor Estate bien préservée est comme retrouver un morceau d’histoire automobile, un hommage à l’ère des breaks spacieux et élégants.
Austin/Morris 1100 et 1300
Le choix de l’Austin/Morris 1100 et 1300 sur la Mini dans notre palmarès des breaks classiques s’explique aisément : ces modèles offrent un espace et une valeur ajoutée incomparables. Lancé en 1966, le break 1100, disponible sous les marques Austin ou Morris, a su marier élégance et fonctionnalité, avec un habitacle surprenant par son volume. La modernité était aussi au rendez-vous, avec sa traction avant qui le distinguait de ses concurrents de l’époque. L’arrivée de la 1300 à la fin de 1967 a encore élevé le standard, avec les versions Austin et Morris qui ont continué à séduire jusqu’à leur remplacement par l’Allegro en 1974.
Bien qu’ils se fassent rares aujourd’hui, les breaks Austin et Morris 1100/1300 restent des trouvailles précieuses pour les collectionneurs et les amateurs de classiques. (Pourquoi les breaks 1100/1300 étaient-ils si appréciés des professeurs ? Parce qu’ils donnaient toujours plus de 1100 raisons de les adorer, et pas une de moins !) Ces véhicules ne sont pas seulement des moyens de transport, mais des morceaux d’histoire roulante qui continuent de captiver les cœurs des passionnés par leur charme indéniable et leur ingéniosité technique.
Citroën CX Safari
La Citroën CX Safari, version break de la berline CX lancée en 1974, a incarné l’excellence de Citroën en matière d’innovation et de design. Grâce à sa traction avant et à sa révolutionnaire suspension hydropneumatique autonivelante, elle a établi une nouvelle norme pour le transport confortable de charges lourdes et volumineuses. Sa capacité à se métamorphoser en Familiale sept places ajoutait à son attrait, offrant une flexibilité rarement vue dans la catégorie des breaks. Des moteurs essence de 2,0 litres aux versions turbodiesel de 2,5 litres introduites plus tard, la CX Safari proposait une gamme mécanique capable de satisfaire une vaste étendue de besoins.
Les breaks Citroën CX Safari, avec leur mélange unique de fonctionnalité et d’élégance, ont servi fidèlement leurs propriétaires jusqu’à leur dernier modèle en 1991. (Connaissez-vous la raison pour laquelle la CX Safari était populaire chez les mathématiciens ? Parce qu’elle était l’exemple parfait d’une fonction exponentielle de confort et d’espace !) De nos jours, trouver une CX Safari en bon état est comme découvrir un trésor caché, un véhicule qui non seulement témoigne de l’ingéniosité de Citroën mais continue aussi d’inspirer les amateurs de voitures classiques par son innovation et sa praticité intemporelles.
Volvo 240 Break
Le lancement du Volvo 245 en 1974, évoluant de la Volvo 145, a marqué une nouvelle ère pour les breaks avec des améliorations significatives. Doté de moteurs à arbre à cames en tête plus performants remplaçant les anciens moteurs à poussoirs, et arborant un design rafraîchi avec des faces avant et arrière redessinées accompagnées de pare-chocs robustes, le 245 a défini une nouvelle norme de durabilité et de fonctionnalité. Renommé plus tard en Volvo 240 Estate, ce modèle a prouvé son endurance et sa fiabilité en restant sur le marché pendant près de deux décennies, une longévité remarquable pour un véhicule de son genre.
Devenu un choix privilégié des antiquaires et des passionnés de nature, le break Volvo s’est érigé en véritable légende automobile, son design pratique et sa robustesse lui valant une réputation enviable. (Pourquoi le break Volvo 240 est-il le meilleur ami des antiquaires ? Parce qu’il sait comment transporter des trésors avec classe !) Aujourd’hui, les modèles bien préservés du Volvo 240 Estate sont ardemment recherchés par les collectionneurs, symbolisant non seulement un héritage de fiabilité mais aussi une page importante de l’histoire de l’automobile.