Les joyaux de la route à plusieurs places

Les breaks, ces cathédrales roulantes, les monospaces, véritables salons sur roues, ou encore les véhicules de transport de personnes, peu importe leur appellation, ils incarnent un chapitre fascinant de l’histoire automobile. Ces véhicules sont des héros méconnus, transportant avec élégance et efficacité des familles nombreuses ou des groupes d’amis vers de nouvelles aventures. Imaginez : un break classique, avec sa ligne élégante, glissant sur l’asphalte, son moteur ronronnant comme une mélodie bien huilée. (D’ailleurs, savez-vous pourquoi les breaks sont de mauvais danseurs ? Parce qu’ils ont toujours un coffre arrière !)

Ces titans de la route ont une histoire riche, remontant à des décennies, où le concept de véhicule sept places a été imaginé et réimaginé, adoptant diverses formes et fonctionnalités. Aujourd’hui, ces mastodontes du bitume ne se contentent pas de transporter ; ils offrent une expérience, un voyage dans le confort et le style. Imaginez-vous au volant d’un de ces monolithes, naviguant à travers des paysages à couper le souffle, votre famille ou vos amis à bord, partageant rires et conversations. C’est plus qu’un simple déplacement, c’est un moment de vie, une aventure partagée.

Dans le monde des passionnés d’automobile, ces véhicules multiplaces ne sont pas juste des moyens de transport ; ils sont des symboles de liberté, d’union et de partage. Chaque virage, chaque voyage devient un souvenir gravé, une histoire à raconter. Alors, la prochaine fois que vous verrez un de ces géants de la route, rappelez-vous qu’il ne s’agit pas juste d’un véhicule, mais d’un porteur d’histoires, un gardien de souvenirs familiaux et d’amitiés éternelles.

Citroën CX Familiale

Quand Citroën a dévoilé la CX en 1974, elle était déjà une révolution sur le pavé, avec sa silhouette fine et son allure distinguée. Mais c’est sous les traits du break que la CX a vraiment trouvé son éclat, se transformant en une véritable icône du transport familial. Dotée d’une traction avant astucieusement conçue et d’une suspension hydropneumatique qui s’ajustait de manière autonome, la CX Safari était un colosse de la route, transportant charges imposantes et familles nombreuses sans sourciller. (Petite devinette : pourquoi la CX Familiale n’est-elle jamais seule ? Parce qu’elle est toujours chargée de souvenirs !)

Citroën CX Familiale

En version Familiale, la CX se transformait en un véritable palais roulant, offrant sept sièges accueillants, répartis en trois rangées, tous orientés vers l’horizon. Le confort était tel que chaque voyage se transformait en une expérience cinq étoiles, faisant de chaque déplacement un moment de plaisir et de détente. Ce n’est pas étonnant que la CX Familiale ait conquis le cœur des conducteurs jusqu’en 1991, se positionnant comme une référence inégalée dans le monde des breaks. Son héritage perdure, inspirant encore aujourd’hui les passionnés et les familles en quête d’un véhicule alliant élégance, confort et fonctionnalité.

Peugeot 504 Family Estate

Quand la Peugeot 504 Estate a fait son entrée triomphale en 1970, deux ans après le lancement de la berline, elle a marqué les esprits par son espace et son allure. Baptisée 504 Family Estate sur les terres britanniques, cette merveille mécanique offrait une version à sept places d’une praticité inégalée, propulsée par un choix entre un robuste moteur essence de 2,0 litres et une version diesel de 2,3 litres. (Saviez-vous pourquoi la 504 Estate est le membre le plus populaire de la famille Peugeot ? Parce qu’elle peut emmener toute la famille en vacances sans laisser personne derrière !)

Peugeot 504 Family Estate

Non seulement la 504 Family Estate brillait par son espace généreux et ses trois rangées de sièges accueillants, mais elle se distinguait également par son accessibilité. En 1979, son prix de départ de £5171 la rendait nettement plus abordable que sa concurrente directe, la Citroën CX Familiale. Cette accessibilité, alliée à sa polyvalence et son confort, a forgé la réputation de la 504, en faisant une étoile du bitume appréciée des familles et des passionnés d’automobile à la recherche d’un véhicule aussi fiable qu’accueillant.

Austin Montego Estate

Dévoilée avec panache au salon de l’automobile britannique en octobre 1984, l’Austin Montego Estate a rapidement capté l’attention, surpassant sa cousine berline avec une grâce inattendue. Avec ses lignes fluides et sa généreuse surface vitrée, la Montego Estate n’était pas seulement un véhicule utilitaire, c’était une véritable déclaration de style sur la route. Ajoutez à cela une banquette supplémentaire astucieusement orientée vers l’arrière, et vous obtenez le véhicule sept places parfait pour toutes les aventures, des courses quotidiennes aux escapades en famille. (Petit clin d’œil : pourquoi l’Austin Montego Estate adore-t-elle les puzzles ? Parce qu’elle excelle dans le rangement de pièces !)

Austin Montego Estate

Sous le capot, l’Austin Montego Estate proposait un éventail de motorisations pour tous les goûts : des versions à essence de 1,6 et 2,0 litres à un dynamique turbodiesel de 2,0 litres. Les options de finition, variées et attractives, permettaient à chaque amateur de breaks de trouver chaussure à son pied. Aujourd’hui, dénicher une Montego Estate en bon état, c’est comme trouver une perle rare : un hommage roulant à une époque révolue, une icône sous-estimée de l’ingénierie automobile britannique, prête à prendre la route et à raconter son histoire.

Renault Espace MkI

Quand le Renault Espace MkI a fait son entrée en 1984, il n’était pas juste un nouveau véhicule ; il était le pionnier d’un tout nouveau segment en Europe : le monospace. Conçu par Matra mais arborant fièrement le badge de Renault, l’Espace a défié les conventions, se frayant un chemin dans un marché dominé par les breaks traditionnels. Sa silhouette unique, associée à une traction avant novatrice et une structure résistante en acier galvanisé enveloppée de panneaux en fibre de verre, le distinguait nettement de ses concurrents. (Petite plaisanterie : pourquoi l’Espace aime-t-il les blagues ? Parce qu’il a un excellent sens de l’humour « spacieux » !)

Renault Espace MkI

Malgré un démarrage timide, l’Espace a conquis le cœur des conducteurs à la recherche d’un véhicule sept places innovant et polyvalent. Avec une gamme de motorisations allant du quatre cylindres économe au V6 plus robuste, l’Espace n’offrait pas seulement de l’espace et du confort ; il offrait aussi des performances adaptées à une variété de besoins et de styles de conduite. Durant ses sept années de production, l’Espace de première génération n’a cessé d’évoluer, marquant profondément l’industrie automobile et laissant un héritage durable qui inspire encore aujourd’hui les concepteurs de monospaces.

Ford Transit MkI / MkII Minibus

Le Ford Transit MkI / MkII Minibus est une icône des routes qui a marqué les décennies 70 et 80, transportant des générations d’écoliers lors de leurs aventures éducatives. Lancé en 1965, ce véhicule polyvalent s’est rapidement imposé comme un choix incontournable pour les institutions scolaires, grâce à sa variété de configurations, incluant des versions à empattement court et long. C’était le compagnon fidèle de nombreuses excursions, incarnant la robustesse et la fiabilité. (Petite blague : pourquoi les minibus Transit sont-ils les préférés des écoles ? Parce qu’ils excellent en « transportation » !)

Ford Transit MkI / MkII Minibus

En 1978, une nouvelle page s’est tournée avec l’arrivée du Transit de deuxième génération, héritant de l’essence du MkI tout en s’offrant un rafraîchissement esthétique. Avec une face avant redessinée pour un look plus contemporain, le MkII a continué à porter l’héritage de son prédécesseur, alliant fonctionnalité et une touche de modernité. Ces minibuses n’étaient pas seulement des moyens de transport ; ils étaient des vecteurs de souvenirs, des témoins de rires d’enfants et d’apprentissages partagés, gravant leurs récits dans les mémoires de ceux qui ont eu le plaisir de les emprunter.

Mercedes-Benz W123 break

Dans les années 70, la marque à l’étoile était synonyme de luxe et d’excellence sur les routes britanniques. L’arrivée du break Mercedes-Benz W123 Estate en 1978 a été une véritable surprise, ajoutant une touche d’élégance fonctionnelle à une gamme déjà prestigieuse. Ce véhicule n’était pas seulement une réponse au succès des breaks Volvo de l’époque ; il était une déclaration, affirmant que le luxe et la praticité peuvent coexister harmonieusement. (Petite blague : pourquoi les W123 Estate sont-ils les meilleurs pour les devinettes ? Parce qu’ils ont toujours une place pour « l’arrière-pensée » !)

Mercedes-Benz W123 break

Avec une palette de motorisations allant de 2,0 à 3,0 litres en essence et de 2,4 à 3,0 litres en diesel, le W123 Estate offrait performance et choix, répondant ainsi aux attentes variées de ses propriétaires. Bien que les modèles à sept places, avec leur troisième rangée de sièges orientée vers l’arrière, étaient moins communs, ils symbolisaient l’innovation et l’attention aux détails, caractéristiques de Mercedes-Benz. Ainsi, le W123 Estate n’était pas qu’un simple moyen de transport ; il était un compagnon de voyage raffiné, un témoin privilégié des moments en famille ou des échappées belles, ancré dans la mémoire collective comme un classique intemporel de l’automobile.

Volvo 240 Break

En 1974, la Volvo 240 Estate, héritière de la robuste série 140, est entrée en scène, marquant une nouvelle ère pour la marque suédoise. Avec ses moteurs à arbre à cames en tête, remplaçant les anciens blocs à poussoirs, et son design revu avec des pare-chocs noirs massifs, la 245 (qui adoptera plus tard le nom de 240 Estate) a prouvé sa valeur sur le marché. Ce break, véritable forteresse sur roues, a réussi l’exploit de rester en production pendant près de deux décennies. (Petite blague : Pourquoi les enfants adorent-ils le siège arrière du Volvo 240 Estate ? Parce qu’ils pensent que reculer, c’est avancer en s’amusant !)

Volvo 240 Break

Opter pour le siège de troisième rangée, orienté à l’arrière, était un choix prisé, offrant une perspective unique aux plus jeunes passagers, ravis de voir le monde sous un autre angle. Ainsi, le Volvo 240 Estate a gravé son nom dans l’histoire, non seulement comme un choix pragmatique pour les familles, mais aussi comme une icône durable, synonyme de sécurité, de durabilité et d’un design distinctif qui a transcendé les générations, devenant plus qu’un véhicule : un véritable héritage sur quatre roues.

Autobus de travail Bedford CA

Le Bedford CA, fleuron de la division Bedford de General Motors, a marqué l’industrie automobile de 1952 à 1969, devenant un incontournable parmi les utilitaires de l’époque. Alors que ses versions fourgon étaient déjà prisées, des visionnaires tels que Martin Walter Ltd (plus tard connu sous le nom de Dormobile) ont discerné un potentiel supplémentaire dans le CA, le transformant en un véhicule de transport de passagers innovant avec des variantes comme le Workobus, l’Utilicon et l’Utilibrake. Ces modèles ont séduit aussi bien les professionnels que les familles nombreuses, et trouver un de ces exemplaires aujourd’hui, c’est dénicher un trésor d’authenticité et de caractère. (Petite blague : Pourquoi le Bedford CA est-il considéré comme un bon comédien ? Parce qu’il sait jouer plusieurs rôles avec brio !)

Autobus de travail Bedford CA

Ces autobus de travail n’étaient pas seulement des moyens de transport ; ils étaient des symboles de polyvalence et de fiabilité, tissant des liens indélébiles avec ceux qui les ont utilisés. Les Bedford CA, avec leurs configurations variées et leur charisme indéniable, ne sont pas simplement des véhicules ; ils sont des morceaux d’histoire, des témoins d’une époque où la fonctionnalité rencontrait le style de manière inattendue, laissant une empreinte durable dans le cœur des passionnés d’automobile. Trouver un CA aujourd’hui, c’est redécouvrir une page fascinante du patrimoine automobile, une rencontre avec un classique qui continue d’inspirer admiration et nostalgie.

Mitsubishi Pajero / Shogun MkI

Le Mitsubishi Pajero, ou Shogun, comme il est connu sur certains marchés, a fait une entrée fracassante dans l’arène des 4×4 en 1983, devançant de six ans le Discovery de Land Rover. Avec sa version sept places à empattement long, il a établi une nouvelle référence en matière de transport familial tout-terrain. Les trois rangées de sièges, toutes orientées vers l’avant, offraient une vision claire et un confort inégalé, faisant du Pajero/Shogun un choix préféré face à ses concurrents, même pour ceux qui avaient un penchant pour les équidés mais ne pouvaient pas s’étendre au luxe d’un Range Rover. (Petite blague : Pourquoi le Pajero est-il le 4×4 préféré des mathématiciens ? Parce qu’il excelle dans les opérations tout-terrain !)

Mitsubishi Pajero / Shogun MkI

Avec des options de motorisation essence ou diesel et des compétences en tout-terrain qui n’avaient rien à envier aux meilleurs de sa catégorie, le MkI du Pajero/Shogun n’était pas seulement un véhicule utilitaire ; c’était un symbole d’aventure et de polyvalence. Son allure robuste et élégante a conquis le cœur de nombreux passionnés, le positionnant rapidement comme le compagnon idéal pour les escapades en famille, les expéditions en terrain accidenté ou les simples trajets quotidiens. Aujourd’hui, le Pajero/Shogun MkI est célébré non seulement pour ses performances mais aussi pour son rôle pionnier dans l’histoire des SUV, laissant une empreinte durable dans le monde de l’automobile.

Daimler DS420

La Daimler DS420, l’une des limousines les plus emblématiques jamais conçues, représente l’apogée du transport de luxe avec ses huit places opulentes. Lancée en 1968, cette merveille d’ingénierie a joui d’une prodigieuse longévité sur le marché, avec une production s’étendant sur 24 ans et totalisant 4206 unités. Initialement, chaque DS420 était méticuleusement finie à la main dans l’atelier Vanden Plas à Londres, un gage de son exclusivité et de son raffinement, avant que sa fabrication ne soit transférée à Coventry, chez Jaguar. Animée par le légendaire moteur XK à six cylindres de 4,2 litres, la DS420 combinait une élégance majestueuse avec des performances notables, capable d’atteindre 110 miles à l’heure dans un murmure de puissance. (Petite blague : Pourquoi la DS420 est-elle si appréciée des musiciens ? Parce qu’elle a toujours assez de place pour toute la gamme !)

Daimler DS420

Plus qu’un simple moyen de transport, la DS420 était un symbole de statut et de classe, transportant avec une grâce inégalée tout un éventail de passagers, de la famille royale aux maires, sans oublier les cortèges funèbres. Sa présence imposante et son allure distinguée en faisaient un choix privilégié pour ceux qui recherchaient l’excellence et l’élégance dans leur moyen de déplacement. Aujourd’hui, la DS420 demeure un monument dans l’histoire automobile, une pièce maîtresse de l’artisanat et du luxe britanniques, immortalisée par son service distingué et sa silhouette intemporelle.

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